Burin - Matériel de gravure

Burin

Matériel de gravure

20e siècle

France

Objet

Bois

; Acier

Hauteur en cm : 1,5

; Longueur en cm : 20

; Largeur en cm : 2

L'un des burins de Jacques Jubert, graveur de timbres-poste, faisant partie d'un ensemble de plus de trente outils divers servant à la réalisation des poinçons originaux de timbres-poste.

Fabrication du timbre

; Gravure

; Burin

; Outil

Jubert Jacques En savoir plus

• NomJubert
• PrénomJacques
• Lieu de naissanceUnverre
• Date de naissance1940, avril 18
• Nationalité / CultureFrançaise
• Notice biographiqueJacques Jubert est un peintre, dessinateur et graveur né le 18 avril 1940, à Unverre (Eure-et-Loir). Il pénètre à onze ans dans le monde de l’art en intégrant un atelier de la Ville de Paris. Puis il entre à l’École Estienne pour travailler le graphisme et s’initier à la gravure. Il poursuit ses études artistiques à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en architecture intérieure et en sculpture. L’éclectisme de ses études caractérise la diversité de ses champs d’intérêt et de sa future production personnelle et professionnelle. Spécialiste reconnu de la gravure sur bois debout, il grave de nombreux billets pour l’Afrique et pour la France, dont le 100 F Delacroix et le 50 F Quentin de la Tour (1976). Parallèlement, il fournit des illustrations dans le style « gravure » pour les campagnes publicitaires de grandes marques : Renault, Société Générale, Volkswagen, Alcatel et surtout Banette dont il dessine le logo. En 1978 il crée et grave son premier timbre-poste. Ce portrait de Léon Tolstoï sera suivi par une cinquantaine de timbres pour la France qui explorent tous les thèmes, sports, paysage, architecture… traduits dans des styles graphiques en adéquation avec le sujet. En 1986, il reçoit le titre de Meilleur Ouvrier de France en taille-douce avec la gravure d’un portrait de Richelieu. La commission philatélique de Saint-Pierre-et-Miquelon l’appelle en 1997 pour assurer la direction artistique et technique des émissions de l’archipel. Pendant huit ans, il y organise la relation avec les artistes, cultive la thématique locale et travaille à la qualification créative et technique de la production.
  Son œuvre philatélique est dominée par quelques créations significatives : le judo, l’escrime, les personnages célèbres de 1985, les monuments de Paris de 1989, la Brenne, les Champs-Élysées, le port de Saint-Pierre ou encore l’Arche des Kerguelen.
  Parallèlement, il s’adonne à la création personnelle par la pratique du dessin, du fusain, du pastel, de la xylographie, de la sérigraphie, de la peinture et de la sculpture. À quoi s’ajoute son intérêt natif pour ce qui nourrit l’humanité, particulièrement pour l’horticulture, ce qui le conduit à publier en 2010 une impressionnante et première bibliographie du cidre.
• FonctionCollectionneur
• FonctionDessinateur
• FonctionGraveur
• FonctionMetteur en page

Jubert Jacques En savoir plus

• NomJubert
• PrénomJacques
• Date de naissance1940, avril 18
• Lieu de naissanceUnverre
• FonctionCollectionneur
• FonctionDessinateur
• FonctionGraveur
• FonctionMetteur en page
• Nationalité / CultureFrançaise
• Notice biographiqueJacques Jubert est un peintre, dessinateur et graveur né le 18 avril 1940, à Unverre (Eure-et-Loir). Il pénètre à onze ans dans le monde de l’art en intégrant un atelier de la Ville de Paris. Puis il entre à l’École Estienne pour travailler le graphisme et s’initier à la gravure. Il poursuit ses études artistiques à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs en architecture intérieure et en sculpture. L’éclectisme de ses études caractérise la diversité de ses champs d’intérêt et de sa future production personnelle et professionnelle. Spécialiste reconnu de la gravure sur bois debout, il grave de nombreux billets pour l’Afrique et pour la France, dont le 100 F Delacroix et le 50 F Quentin de la Tour (1976). Parallèlement, il fournit des illustrations dans le style « gravure » pour les campagnes publicitaires de grandes marques : Renault, Société Générale, Volkswagen, Alcatel et surtout Banette dont il dessine le logo. En 1978 il crée et grave son premier timbre-poste. Ce portrait de Léon Tolstoï sera suivi par une cinquantaine de timbres pour la France qui explorent tous les thèmes, sports, paysage, architecture… traduits dans des styles graphiques en adéquation avec le sujet. En 1986, il reçoit le titre de Meilleur Ouvrier de France en taille-douce avec la gravure d’un portrait de Richelieu. La commission philatélique de Saint-Pierre-et-Miquelon l’appelle en 1997 pour assurer la direction artistique et technique des émissions de l’archipel. Pendant huit ans, il y organise la relation avec les artistes, cultive la thématique locale et travaille à la qualification créative et technique de la production.
  Son œuvre philatélique est dominée par quelques créations significatives : le judo, l’escrime, les personnages célèbres de 1985, les monuments de Paris de 1989, la Brenne, les Champs-Élysées, le port de Saint-Pierre ou encore l’Arche des Kerguelen.
  Parallèlement, il s’adonne à la création personnelle par la pratique du dessin, du fusain, du pastel, de la xylographie, de la sérigraphie, de la peinture et de la sculpture. À quoi s’ajoute son intérêt natif pour ce qui nourrit l’humanité, particulièrement pour l’horticulture, ce qui le conduit à publier en 2010 une impressionnante et première bibliographie du cidre.

Collections historiques

Propriété de l'Etat

Mode d'acquisitionDon

© Photo : Musée de La Poste, Paris / La Poste / Tous droits réservés
© Notice : Musée de La Poste, Paris / La Poste

19832/19